Université
Le mot du Président
L’idée d’une nouvelle université privée au Gabon tombe sous le sens au regard de la très forte poussée exercée par le nombre croissant de nouveaux bacheliers chaque année. Ces résultats s’accompagnent cependant, tout au moins à court et moyen terme, d’une saturation de l’offre publique en capacités d’accueil des établissements destinés à parachever les formations des uns et des autres.
L’ouverture d’une nouvelle université se justifie aussi au regard de la fermeture croissante des universités publiques européennes et notamment françaises qui accueillaient traditionnellement une partie substantielle de nos bacheliers. Comme chacun le sait, ces universités ont décidé depuis un certain temps maintenant de réduire les places qu’elles faisaient aux étudiants africains en général avec :
L’université de Bisségué s’inscrit donc en droite ligne de l’effort à fournir pour relever le défi auquel notre pays est confronté. Son ambition est de participer et de soutenir la formation de la jeunesse mais également de ceux qui sont déjà engagés dans la vie active et qui souhaitent actualiser ou relever leurs niveaux de connaissances.
Si elle s’est ouverte avec des formations dans les métiers de l’éducation, de l’économie, du droit, des mathématiques, de l’informatique et de la Statistique ; elle s’étendra progressivement à d’autres disciplines pour élargir son offre de formations.
L’université de Bisségué se projette sous la double exigence de la qualité et de la compétitivité qui s’impose aux personnels administratifs, au corps enseignant, aux étudiants et aux parents pour que ses diplômés supportent sans complexe la concurrence des autres étudiants formés au Gabon ou ailleurs dans le monde. Sa devise « Rectitudo » resume ces exigences de qualité, de rigueur et de Combativité.
Raymond Ndong Sima
L’idée d’une nouvelle université privée au Gabon tombe sous le sens au regard de la très forte poussée exercée par le nombre croissant de nouveaux bacheliers chaque année. Ces résultats s’accompagnent cependant, tout au moins à court et moyen terme, d’une saturation de l’offre publique en capacités d’accueil des établissements destinés à parachever les formations des uns et des autres.
L’ouverture d’une nouvelle université se justifie aussi au regard de la fermeture croissante des universités publiques européennes et notamment françaises qui accueillaient traditionnellement une partie substantielle de nos bacheliers. Comme chacun le sait, ces universités ont décidé depuis un certain temps maintenant de réduire les places qu’elles faisaient aux étudiants africains en général avec :
- Un numerus clausus rigide ;
- Des restrictions dans la délivrance des visas et des cartes de séjour ;
L’université de Bisségué s’inscrit donc en droite ligne de l’effort à fournir pour relever le défi auquel notre pays est confronté. Son ambition est de participer et de soutenir la formation de la jeunesse mais également de ceux qui sont déjà engagés dans la vie active et qui souhaitent actualiser ou relever leurs niveaux de connaissances.
Si elle s’est ouverte avec des formations dans les métiers de l’éducation, de l’économie, du droit, des mathématiques, de l’informatique et de la Statistique ; elle s’étendra progressivement à d’autres disciplines pour élargir son offre de formations.
L’université de Bisségué se projette sous la double exigence de la qualité et de la compétitivité qui s’impose aux personnels administratifs, au corps enseignant, aux étudiants et aux parents pour que ses diplômés supportent sans complexe la concurrence des autres étudiants formés au Gabon ou ailleurs dans le monde. Sa devise « Rectitudo » resume ces exigences de qualité, de rigueur et de Combativité.
Raymond Ndong Sima
